Moins de bateaux ont participé au rassemblement de 2010 que lors des précédentes éditions, surtout celles des années bissextiles quand Douarnenez accueille la flotte venue de Brest. Une fête plus "intimiste", rassemblant toute la flotte dans le magnifique site de la ria séparant Douarnenez de Tréboul, et notamment dans le Port-Rhu.
Le plus grand navire était le Belem, qui a d'ailleurs dû attendre pour passer la porte d'entrée au Port-Rhu (qui est un bassin à flot), le vent traversier rendant délicate le passage de cette porte à peine plus large (10 m) que le navire.(la photo ci-dessous représente cette entrée délicate)
L'autre trois-mâts présent était Earl of Pembroke, venu de Cornouailles britannique et toujours fidèle aux rassemblements bretons.
La Marine nationale était représentée par la goélette à hunier Belle Poule et par le dundée Grande Hermine.
De Grande-Bretagne venaient le grand ketch Bessie-Ellen, les trawlers Keewaydin et Vigilance of Brixham, plusieurs lougres cornouaillais, de nombreux cotres et des yachts.
Parmi les voiliers de taille moyenne, on remarquait les 2 goélettes à hunier Étoile de France et La Recouvrance , les 2 bisquines La Cancalaise et La Granvillaise, le lougre à trois mâts Corentin, le cotre Le Renard, les ketchs Notre-Dame des Flots et Reine des Flots, les dundées Notre-Dame de Rumengol, Belle Étoile et Sant C'hireg, le lougre à deux mâts Grand Léjon,
De nombreux yachts classiques dont Pen Duick et Lady Maud, des chaloupes comme Telenn Mor et Marie-Claudine, de nombreux cotres, misainiers, yoles et canots voile-aviron complétaient la flotte.
Un grand pont, au tablier métallique bleu, soutenu par deux piles en pierre, relie Douarnenez à Tréboul, au-dessus de la ria du Port-Rhu.
C'est la fin de la navigation pour les navires à tirant d'air important (plus de 16 mètres),
mais les voiliers de plaisance ordinaire peuvent continuer jusqu'au mouillage situé en amont.
C'est la fin de la navigation pour les navires à tirant d'air important (plus de 16 mètres),
mais les voiliers de plaisance ordinaire peuvent continuer jusqu'au mouillage situé en amont.
Du haut du pont, la vue est magnifique sur le port-musée, la ria et la ville et la baie de Douarnenez.
Le bassin à flot est fermé est séparé de l'avant-port par un seuil submersible ; une porte permet l'entrée et la sortie des bateaux (comme on l'a vu ci-dessus pour le Belem) et est surmonté d'un pont levant. Une jetée, côté Douarnenez et une passerelle côté Tréboul permet aux piétons de raccourcir notablement le parcours entre les 2 rives, en dehors des heures de passage des bateaux.
La photo ci -dessus montre la porte d'accès au bassin à flot, vue du grand pont, ainsi que la passerelle côté Tréboul. En arrière-plan, la baie de Douarnenez, fermée par la presqu'île de Crozon. Entre la baie et le bassin à flot, le chenal d'accès, l'avant-port de Tréboul sur la gauche et l'île Tristan sur la droite.
Cette photo montre le détail de l'entrée du bassin à flot. La porte et le pont levant sont ouverts, laissant passer les bateaux. Au premier plan, la Sereine, voilier mythique de l'école des Glénans, vient de passer à côté de La Recouvrance. On reconnaît aussi Notre-Dame de Rumengol, avec sa coque noire et son pavois bleu.
Sur cette image, nombreux sont les bateaux qui sortent du bassin en début d'après-midi.
Encore une photo de la sortie du bassin à flot : de nombreux voiliers évoluent en baie.
Ci-dessus, le trawler anglais Keewaydin est accosté au mur d'accès à la porte. Celle-ci est fermée ; le pont levant, abaissé, permet le passage des piétons.
Derrière les petits bateaux échoués dans l'avant-port, on voit le seuil submersible et la passerelle.
Cette photo montre l'accès au Port-Rhu, vu de l'aval, derrière les pontons de l'avant-port de Tréboul. La porte du bassin est fermée.
La grève, juste en aval du bassin à flot, est le domaine des petits voiliers qui échouent facilement. Chaloupes, petits misainiers et cotres, canots voile-aviron et yoles composent des tableaux colorés qui font le délice des peintres et des photographes.
Les voiliers qui veulent être en mer pendant la marée basse s'amarrent aux pontons de l'avant-port de Tréboul. Cela leur permet d'embarquer plus facilement leurs passagers.
Ci-dessus, par exemple, Notre-Dame des Flots et Corentin.
La chaloupe douarneniste Telenn Mor possède son mouillage dans cet avant-port.
Quelques-uns des plus grands voiliers mouillent en baie, notamment durant la "pause casse-croûte" de midi. Ces bateaux naviguent avec des membres de leur association (les bisquines, par exemple) ou sont affrétés pour la journée par des groupes.
Ci-dessus, quelques voiliers au mouillage ; on reconnaît notamment Le Renard, La Recouvrance et Enez Koalen.
Les évolutions des voiliers en baie étaient bien visibles en embarquant sur un de ces bateaux, mais on pouvait aussi les suivre de différents points de la côte, un des plus agréables étant la jetée qui protège l'entrée de la ria, côté Tréboul. De là, on pouvait aussi observer les mouvements d'entrée et de sortie, avec comme décor la jolie rive boisée de l'île Tristan.
Les manœuvres de La Cancalaise étaient certainement les plus spectaculaires, ce qui est souvent le cas.
Passages au ras de la jetée...
Virement vent devant...
Les voiles passent bâbord amures...
La Cancalaise repart vers le large.
Admirez le magnifique réglage de la voilure de la bisquine..
Quelques images des évolutions de bateaux en mer ; on vous laisse essayer de les reconnaître....
La grève, juste en aval du bassin à flot, est le domaine des petits voiliers qui échouent facilement. Chaloupes, petits misainiers et cotres, canots voile-aviron et yoles composent des tableaux colorés qui font le délice des peintres et des photographes.
Les voiliers qui veulent être en mer pendant la marée basse s'amarrent aux pontons de l'avant-port de Tréboul. Cela leur permet d'embarquer plus facilement leurs passagers.
Ci-dessus, par exemple, Notre-Dame des Flots et Corentin.
La chaloupe douarneniste Telenn Mor possède son mouillage dans cet avant-port.
Quelques-uns des plus grands voiliers mouillent en baie, notamment durant la "pause casse-croûte" de midi. Ces bateaux naviguent avec des membres de leur association (les bisquines, par exemple) ou sont affrétés pour la journée par des groupes.
Ci-dessus, quelques voiliers au mouillage ; on reconnaît notamment Le Renard, La Recouvrance et Enez Koalen.
Les évolutions des voiliers en baie étaient bien visibles en embarquant sur un de ces bateaux, mais on pouvait aussi les suivre de différents points de la côte, un des plus agréables étant la jetée qui protège l'entrée de la ria, côté Tréboul. De là, on pouvait aussi observer les mouvements d'entrée et de sortie, avec comme décor la jolie rive boisée de l'île Tristan.
Les manœuvres de La Cancalaise étaient certainement les plus spectaculaires, ce qui est souvent le cas.
Passages au ras de la jetée...
Virement vent devant...
Les voiles passent bâbord amures...
La Cancalaise repart vers le large.
Admirez le magnifique réglage de la voilure de la bisquine..
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